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En finir avec la climatologie polititienne !

vendredi 30 août 2019 par Pascal Acot pour l’ANC

L’hystérie climatomaniaque ne cesse de battre des records : voici maintenant « la fin du monde » souvent évoquée dans la presse, qui se veut désormais capable d’assigner une date à la catastrophe. En ce moment, c’est le XXIIe siècle qui tient la corde. On a même inventé une « science de l’effondrement du monde » : la « collapsologie », et un verbe : « collapser » (sic). Mais c’est avec la jeune Greta Thunberg que l’on touche le fond. Cette jeune fille de 16 ans inspire dans certains pays avancés la grève « climatique » de nombreux lycéens. Hélas ! ils fondent leurs certitudes sur une prétendue unanimité des climatologues. Or même si cette unanimité était avérée, l’argument serait irrecevable car l’unanimité n’a rien à voir avec la vérité. N’est-ce pas Charles Darwin (1809-1882), grand scientifique s’il en fut, qui fit quasiment l’unanimité en affirmant qu’il convenait de placer dans l’échelle des êtres certains « peuples inférieurs » entre les singes anthropomorphes et les êtres humains « civilisés » ?

Notons que le discours habituel de Greta Thunberg est stupéfiant de naïveté. En voici la structure : 1. La science, c’est la vérité (sic). 2. Le discours climatologique du GIEC est le seul à être scientifique (donc le seul à être vrai !). 3. Il s’ensuit que les critiques formulées à l’égard du GIEC ne doivent pas être prises en compte puisqu’elles ne sont pas vraies. Difficile de descendre si bas. Quand tu auras passé ton bac, Greta, tu ne confondras plus, je l’espère, une pétition de principe avec un raisonnement valide.

Jadis, en Lorraine, Jeanne d’Arc (c. 1412-1431), qui avait à peu près le même âge que Greta Thunberg, entendait « des voix ». Une autre ado un peu allumée, Bernadette Soubirous (1844-1879), voyait de temps en temps la « Vierge Marie ». Mais l’adolescente suédoise n’a rien à leur envier : c’est également l’invisible qu’elle voit. Ses capacités hors du commun lui permettraient de percevoir visuellement le CO2 dans l’atmosphère, écrivait fièrement sa mère ! Il est sans importance que ses visions soient souvent ravalées au rang de simples métaphores : il suffit de savoir que la voyante extra-lucide a été faite Docteur honoris causa de l’Université de Mons (en Belgique), que son nom est fréquemment cité comme possible Prix Nobel de la Paix et qu’elle a récemment navigué vers le siège des Nations-Unies sur un bateau « zéro-carbone... »
Quelle farce !
Quant aux députés de la République française qui ont récemment assisté à la prestation de l’adolescente, ils ont une fois de plus ridiculisé leur écharpe en reculant dans le spectacle une question qui aurait mérité infiniment mieux.

Cela dit, après plus de quinze années de stabilité de la température moyenne sur la Terre (chiffre du GIEC, en anglais IPCC – International Panel on Climate Change) et après plusieurs scandales qui ont affaibli la crédibilité de cette agence des Nations-Unies, des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent désormais contre les thèses do-minantes sur le réchauffement climatique. Afin d’éviter toute polémique, il existe une méthode simple pour tester la validité des arguments qui annoncent un réchauffement dramatique causé par les émissions de gaz à effet de serre (GES) dues aux activités hu-maines. Il s’agit de poser des questions précises et d’attendre des réponses qui se dé-partiraient des insultes habituelles : les « climato-réalistes » ou « climato-critiques » sont fréquemment traités de « climatosceptiques », de « soutiens de Donald Trump et de Jair Bolsonaro », de « populistes » et même de « négationnistes ».

La première question est celle de la cause des réchauffements climatiques pré-industriels rapides. Ainsi, entre 1550 et 1850, le climat est détérioré par rapport à l’optimum médiéval graduellement installé à partir du XIe siècle. L’expression « Petit âge glaciaire » est souvent utilisée pour qualifier cette période moins clémente que la précédente. Emmanuel Le Roy Ladurie, fondateur majeur de la climatologie historique, a montré que deux réchauffements pré-industriels rapides et provisoires ont marqué le petit âge glaciaire.

Dès lors, pour quelles raisons scientifiques le réchauffement actuel est-il désormais exclusivement attribué aux activités humaines ? Les causes « pré-industrielles » au-raient-elles cessé d’agir ? et pourquoi ? L’activité solaire a été évoquée, mais la vérifica-tion rigoureuse de cette hypothèse est impossible en raison du caractère primitif des technologies d’observations solaires au XVIe siècle.
Le volcanisme a également été mis en cause.
Or, en règle générale, les éruptions majeures entraînent un refroidissement (et non un réchauffement) du globe pouvant atteindre plusieurs degrés centigrades. L’hypothèse d’un effet de serre augmenté par les poussières volcaniques dans la haute atmosphère, phénomène qui serait strictement « naturel », est à ma connaissance ignorée dans les rapports du GIEC-IPCC.

La seconde question qu’il convient de poser en matière de changement climatique, porte sur le recul spectaculaire des glaciers. Pourtant, les glaciologues considèrent que ce recul est principalement lié au manque de neige hivernal lié à un déficit de pluviosité plutôt qu’à l’augmentation des chaleurs estivales. Dans ce cas, pourquoi avancer exclu-sivement l’augmentation de la température « moyenne » du globe ? Surtout que le GIEC-IPCC a retenu le chiffre de 0,7°C en cent-vingt ans (1860-1980), ce qui revient à se tirer une balle dans le pied : ce chiffre dérisoire (puisque l’augmentation est mesurée à partir de la fin du petit âge glaciaire), suffirait-il à expliquer les reculs actuellement consta-tés ? D’autant que ces reculs sont un simple retour aux langues glaciaires de l’optimum médiéval antérieur.

Pour ce qui concerne les conséquences sur la faune du recul des glaces de l’arctique, il convient de s’abreuver à des sources sérieuses : ainsi, entre 1950 et aujourd’hui, la po-pulation des ours blancs est passée de 6 000 à plus de 20 000 individus. On se prend à souhaiter que toutes les espèces en voie de disparition de la planète connaissent une telle réussite populationnelle. Et si l’on met en cause la baisse de la pression de chasse, l’argument du réchauffement perd de sa pertinence. On aimerait aussi que les vidéos de vêlages spectaculaires comme celui du glacier d’Illulisat au Groënland cessent de lais-ser entendre qu’il s’agirait de conséquences inhabituelles du réchauffement : ces ex-traordinaires vêlages sont observés tous les ans depuis le XVIIIe siècle. J’ai ainsi eu l’occasion d’observer plusieurs effondrements en mer d’éléments de la langue termi-nale de ce même glacier, à une époque où le réchauffement climatique était loin d’être à l’ordre du jour médiatique.

Passons sur le fait qu’un rapport du GIEC-IPCC (4e rapport, Groupe II, résumé tech-nique) datant de 2007 indiquait que les glaciers de l’Himalaya « pourraient disparaître d’ici 2035, voire avant ». Cette estimation ahurissante pour les glaciologues sérieux fut reprise à la fin de l’année 2009 dans le cadre de la préparation de la Conférence de Co-penhague et de sa médiatisation catastrophiste du réchauffement climatique. Il fallut attendre janvier 2010 pour que l’IPCC reconnaisse son « erreur », liée au fait que les règles de validation des travaux scientifiques n’auraient pas été observées. Quant à l’es-timation de la superficie des glaciers himalayens, les chiffres les plus fantaisistes con-tinuent de circuler. Il convient également de noter que le GIEC est maintenant dirigé par le sud-coréen Hoesung Lee, qui n’est pas du tout climatologue, mais économiste et qui a commencé sa carrière en 1975 dans le développement stratégique et la planification des affaires de la compagnie pétrolière Exxon ! Rappelons que son prédécesseur, Rajen-dra Pachauri, était ingénieur des chemins de fer.

La troisième question porte sur la préférence accordée, par les défenseurs de la thèse officielle, au CO2 d’origine humaine (3,6 % seulement des émissions totales de CO2). Ces émissions se répartissent ainsi : 40 % proviennent des océans et 56 % des forêts. A noter que la vapeur d’eau représente 95 % de tous les GES. Enfin, le taux de CO2 dans l’atmosphère existe seulement à l’état de « traces » (0,037 %). Certes, des causes appa-remment dérisoires peuvent produire de grands effets mais encore faudrait-il montrer sur quelles bases scientifiquement rigoureuses sont estimés les rejets dûs aux seules activités humaines.

Les questions qui précèdent en soulèvent une autre, qui pèse lourd : comment l’idée d’un réchauffement cataclysmique d’origine anthropique peut-elle avoir tant de succès alors qu’aucune preuve n’a jamais été présentée pour l’étayer , et que les « experts » de l’IPCC ont depuis toujours balayé d’un revers de main les nombreuses analyses cri-tiques de ce qui pourrait bien devenir un jour un dogme sans fondement ?

Un point revêt une certaine importance : il est impossible d’incriminer les êtres hu-mains dans le processus « naturel » de changements climatiques qui a été mis en évi-dence pendant les 420 000 dernières années par les carottages du forage de Vos-tok(1999) en Antarctique (avec, pendant cette période, des moments de forte concentra-tion de GES). Si ce processus multimillénaire est encore à l’œuvre, on ne peut lever la moindre taxe supplémentaire puisqu’il est impossible de taxer « la nature ». En re-vanche, c’est possible dans un cadre climatologique où les activités humaines forte-ment carbonées sont retenues comme cause majeure du réchauffement actuel, ce qui est aujourd’hui (comme par hasard) le dogme dominant. Demandons-nous pourquoi ?

Un retour sur l’idée « d’économie verte » permet de répondre à cette question.
Cette idée a été développée par la banque Goldman Sachs qui, à partir de 2002, a investi des milliards de dollars dans les investissements « écologiques ». Cinq ans plus tard, Barack Obama s’en est emparé pour l’intégrer à sa campagne pour la présidence des États-Unis, lui donnant ainsi un puissant essor idéologique. Les géants du bâtiment et des Travaux Publics, également champions de l’isolation, se sont alors lancés dans l’aventure afin de profiter de la manne. Le juteux marché des éoliennes, machines à produire peu d’électricité et seulement quand il y a du vent, a également séduit quelques financiers. Et les panneaux photovoltaïques ont été longtemps tenus pour prometteurs en matière d’économie verte… jusqu’à ce que la Chine s’empare de 95 % du marché européen.

Or l’idée d’économie verte continue à servir de catalyseur idéologique pour « sauver la planète » en laissant espérer au plus grand nombre qu’elle représente la solution mi-racle aux maux dont souffre la Terre et les pauvres qui l’habitent, c’est-à-dire le plus grand nombre. Au fait, un grand communicant et « startupper » en matière d’économie verte nommé Ingmar Rentzhog est l’une des personnes influentes qui sont derrière Gre-ta Thunberg.

Et n’oublions jamais que le GIEC a été créé en novembre 1988 à la demande du G7 (vous avez bien lu !), par deux organismes de l’ONU : l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) et le Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PNUE).
L’hystérie médiatique actuelle est donc en train de précipiter le rationalisme dans l’abîme. L’argument des « réchauffistes », décliné sous toutes les formes, est toujours le même : « La climatologie, c’est-à-dire le GIEC, a prouvé que le réchauffement climatique actuel est causé par les activités humaines. » Or cette affirmation est un mensonge : le GIEC est loin d’être La Science.

Pour mieux servir la cause du réchauffement climatique d’origine humaine, le GIEC a écarté de ses rangs les milliers de climatologues authentiques qui s’interrogent sur le bien-fondé du discours climatologique devenu dominant. Ainsi, après que le GIEC eut prédit la fonte imminente des glaciers himalayens sans aucune preuve scientifique sé-rieuse, il fut accusé non seulement de sensationnalisme par les scientifiques mais aussi par les médias. En février 2010, le Secrétaire général de l’ONU de l’époque, Ban Ki-moon qui, d’après mes connaissances, n’avait aucune compétence scientifique, a en-voyé un message au Forum ministériel mondial sur l’environnement à Bali, exhortant ministres et experts de l’environnement présents à ignorer les thèses de ceux qui dou-tent des dangers du changement climatique : « Dites au monde que vous considérez unanimement que le changement climatique est un danger évident et actuel. »

Où est la science dans tout cela ?
Aux oubliettes. Ainsi, par exemple, sans remettre en cause le rapport existant entre GES et réchauffement, beaucoup suggèrent que l’augmentation de la température moyenne de l’atmosphère ne serait pas la conséquence de l’augmentation des rejets de GES mais sa cause. Cela mériterait au moins d’être débattu. Mais il est plus facile de psalmodier les mantras de la pensée dominante. D’où le psittacisme actuellement triomphant, avec son cortège d’excommunications et d’insultes. Et une climatologie de salle de bains (« fermer le robinet quand on se lave les dents »), ou de salon de l’automobile (« passer à l’électrique »), etc.

Comment ne pas voir que ces niaiseries pérennisent l’impérialisme capitaliste actuel qu’on appelle « mondialisation » ? En effet, la charge de la neutralité carbone des activités humaines incombe principalement à des personnes qui n’ont aucune responsabilité en cette matière : ainsi, « l’empreinte carbone » peut être rigoureusement la même pour un agriculteur bio que pour un membre du conseil d’administration de BP – il suffit de faire le test sur n’importe quel calculateur d’empreinte écologique.

Pendant ce temps, les habitants les plus humbles de l’Europe occidentale paient des taxes « écologiques » supplémentaires, des impôts nouveaux ou de nouvelles taxes à la consommation. Cela permet d’augmenter les cadeaux fiscaux et financiers aux entre-prises responsables du chômage de masse qui infeste la vie publique de cette partie du continent européen depuis plus de quatre décennies.


Pascal Acot
Historien du climat
CR honoraire CNRS

   

Messages

  • 1. En finir avec la climatologie polititienne !
    30 août 2019, 18:02 - par RICHARD PALAO


    L auteur de ce texte climatosceptique délirant qui compile des chiffres sans citer ses sources indique qu’ il s agît d une contribution : POUR L ANC ...je souhaiterais donc savoir s il s agît de la position de l ANC ...

  • 2. En finir avec la climatologie polititienne !
    30 août 2019, 19:22 - par Jean pierre de Lacruz


    En finir avec la climatologie politicienne !Oui, mais aussi avec les climatocepktiques
    Quoi penser pour les quidams que nous sommes. Le problème est suffisamment d’actualité et est devenu fortement politique face au capitalisme dit " vert."
    Il devient urgent que les communistes que nous sommes puissent s’exprimer sur ces sujets (aussi) en connaissance de causes.
    Salut fraternel
    Nocturne

  • 3. En finir avec la climatologie polititienne !
    2 septembre 2019, 13:50 - par RICHARD PALAO


    ALLEGRE le degraisseur de mammouths , pionnier des climatosceptiques aurait pu signer ce texte ...

    L auteur sous entend que ce sont les lobbies capitalistes qui sont a l origine de ce "terrorisme " de la pensée climatomaniaque , il devrait nous expliquer pourquoi la CHINE paye communiste , premier pollueur de la planète est également le pays qui investit le plus dans les énergies renouvelables , afin de participer a la lutte contre le réchauffement climatique ....

  • 4. En finir avec la climatologie polititienne !
    2 septembre 2019, 15:45 - par Molotov


    Un texte excellent.
    L’idéologie dominante, au service de la classe bourgeoise dominante, a depuis plusieurs décennies, décidé d’utiliser un retour à l’idéalisme pou embrigader.
    Il s’exprime par une retour à la religion universelle ( l’islam, l’évangélisme) source idéologique des fascismes récents et aussi par le millénarisme, le "sauvons la planète", tout autant religieux et idéaliste parce que toujours sans preuve.
    Contrairement à ce que disent certains commentaires, Pascal Acot cite ses sources, notamment le GIEC, fondé par Thatcher et Reagan, quand il est obligé de dire le contraire de ce qu’il veut prouver.
    Ce qui fait la vérité, c’est la preuve et pas le marteau piqueur continu de l’idéologie dominante.
    Il faut se dégager de l’idéologie dominante et faire preuve d’une réflexion scientifique. Ce que ne dit pas Pascal Acot, même s’il le suggère, c’est que, dans ce domaine comme dans d’autres, le scientisme a pris le pas. On a une théorie "scientifique" assénée, indiscutable, la Science évidente, un autre Dieu.
    Au contraire, la science et sa démarche sont faites de doutes, d’erreur, de moments où ce que l’on pensait hier s’avère faux aujourd’hui. Les communistes ne peuvent pas être dans une autre démarche.
    C’est pourquoi l’adhésion aux valeurs dominantes des commentateurs précédents me laisse coi. "Les idées dominantes sont celles de la classe dominante" disait Marx. Je me crois presque sur un forum des escroc-logistes issus du Club de Rome.
    Merci Pascal !!!

  • 5. En finir avec la climatologie polititienne !
    2 septembre 2019, 16:23 - par RICHARD PALAO


    Comparer la jeune GRETA atteinte d autisme avec Jeanne d ARC et Bernadette SOUBIROUS est pour le moins déplacé et discrédite l auteur de cette comparaison , pour ma part je ne mets pas en doute la sincérité de l engagement de cette jeune fille , même si je ne partage pas toutes ses positions et le niveau de ses interventions qui effectivement manque de fond et sont donc récupérées par le capitalisme qu’ elle ne responsabilise pas suffisamment ...toutefois ses actions ont au moins le mérite d attirer l attention de la jeunesse sur les dangers qui menacent notre bien commun : la terre , et ce n est déjà pas si mal ....

  • 6. En finir avec la climatologie polititienne !
    2 septembre 2019, 16:34 - par RICHARD PALAO


    Pas d accord avec toi MOLOToV : l auteur ne cite pas ses sources qui discréditent le rapport du GIEC et celles des autres instances internationales en charge du climat ...d ou sort-il ses chiffres et statistiques qui selon lui contredisent ses rapports ?
    Pour ma part je ne suis pas scientifique , mais tout un chacun par son observation personnelle peut constater qu’ une part du dérèglement climatique a pour origine l activité humaine mais on a aussi le droit de faire l autruche et d accuser de scientisme ceux qui utilisent des données scientifiques pour le démontrer ....

  • 7. En finir avec la climatologie polititienne !
    2 septembre 2019, 16:43 - par RICHARD PALAO


    Y a t il quelqu un a l ANC pour me dire si le texte de ASCOT reflète la position de l ANC puisque son auteur signe : " POUR L ANC " ...?

  • 8. En finir avec la climatologie polititienne !
    2 septembre 2019, 16:57 - par RICHARD PALAO


    Quand j ai une divergence avec un autre communiste j évite de lui faire le coup " de l idéologie dominante " ... car si la science est faite de doute , que dire de l idéologie !!! Ceux qui comme moi on connu là période ou l idéologie dominante chez nous était le stalinisme comprennent ce que je veux dire ..,
    pour ma part j essaie d etre communiste mais j ai mis au rencart mes certitudes ....

  • 9. En finir avec la climatologie polititienne !
    7 septembre 2019, 18:50 - par Jean Penichon


    Bonjour, Je suis le responsable du site de l’ANC et à ce titre le seul responsable de ce qui est publié.
    Il se trouve que dans une vie antérieure (lorsque j’étais encore adhérent au PCF) j’ai bien connu Pascal Acot et j’ai toujours pu apprécier son intégrité scientifique (et à l’époque j’étais journaliste scientifique...). Lorsque nous avons eu connaissance du texte de Pascal, Francis Arzalier et moi avons décidé de le publier et de l’intégrer à notre brochure concernant l’écologie. Oui Richard, ce texte est représentatif de ce que pense l’ANC et tu devrais toi aussi nous fournir tes sources contradictoires. Notre association, comme son sous-titre l’indique est un Forum Communiste pour favoriser le débat...
    Alors débattons, mais restons courtois et surtout refusons l’anathème.

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