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Une CGT plus que jamais a la hauteur des enjeux

mercredi 18 mars 2020 par Philippe Cordat (CGT/ANC) et Manu Lepine (FNIC)

La situation exceptionnelle dans laquelle nous sommes plongés depuis ces derniers jours, nous conduit par obligation à bouleverser nos calendriers, nos modes de fonctionnement et notre activité syndicale.
L’assignation à résidence pour confiner les habitants a été annoncée par le président de la République lundi 15 mars 2020 pour ralentir la propagation du Covid 19. Cette décision crée une situation pour les salariés et la population jamais vécue depuis plus d’un siècle dans le Pays.

Nous nous trouvons syndicalement dans un contexte à la fois grave et totalement inédit dans lequel toutes les activités sont quasiment suspendues durant une période qui peut être longue et qui va induire à l’isolement de millions d’êtres Humains en France, sur la zone Europe et à l’échelle du monde.

Pas surprenant dans une telle accélération des annonces que l’anxiété gagne en profondeur l’ensemble des générations, angoissées pour leur propre vie, celles de leurs proches et cela dans une situation de grave pénurie au niveau des moyens pour être soigné.

Grand nombre d’habitants sont inquiets pour eux-mêmes et leurs familles face au risque de tomber malade sans pouvoir être soignés et peut-être de perdre la vie faute de moyens.

Grand nombre ont totalement perdu confiance en ces dirigeants de la France, totalement discrédités et désavoués électoralement dont la seule préoccupation demeure les intérêts des fortunés, des grands groupes et des banques.
Mercredi dernier sans que les médias n’en fassent écho, la part de l’état dans le capital de la poste est passée de 73,68% à 34% et les mesures pour réduire les moyens pour l’école publique reste et demeure à l’ordre du jour dans toutes les académies.

Alors que le pays connait une crise sans précédent, que les besoins de services publics explosent, les représentants de l’État poursuivent leur œuvre pour réduire encore plus les moyens pour les hôpitaux avec dans notre région de nouvelles attaques contre les maternités, les petits établissements comme St Amand de Montrond, Pithiviers, Romorantin et les réorganisations continuent avec leurs cortèges de fermetures de lits et de services.

Le nombre de personnes frappés par le Covid 19 augmente chaque jour sur notre territoire avec déjà trop de décès et des quantités de personnes âgées totalement coupées de leurs familles, d’autres fragilisées par la maladie, les addictions vont se retrouver, isolées, en danger pour eux-mêmes et leurs entourages.

Les services de santé, le système de soins se trouvent actuellement dans l’impossibilité de faire face avec des personnels déjà à bout à qui il est demandé de faire encore et toujours plus et avec un manque de personnel et de moyen technique que plus personne ne peut taire.

Cette situation dramatique que connait le système sanitaire conduit déjà à des tris sélectifs des patients, aux renvois d’autres, à différer des interventions, des examens avec des conséquences qui peuvent être lourdes pour les patients.
Ce que le gouvernement qualifie de réserve médicale avec les médecins retraités réquisitionnés peut d’un jour à l’autre s’étendre à l’ensemble des personnels de santé en retraite pour tenter d’amortir la pénurie de moyens sans pouvoir la résoudre pour autant !

Il ne s’agit pas pour la Cgt dans un tel contexte d’éluder la gravité de la situation et de faire quoi que ce soit qui puisse favoriser la propagation d’un virus mais de prendre toute la mesure de nos responsabilités dans les entreprises, les services, sur les chantiers pour jouer pleinement notre rôle.
Il est certain que le patronat qui combat depuis la libération tous les systèmes solidaires issus du CNR, va multiplier les appels pour puiser dans les fonds de la Sécurité Sociale, le régime d’indemnisation du chômage, les budgets des collectivités territoriales et réclamer la fin de ce qu’il reste du code du travail au nom de la situation d’exception.

Au cours de son allocution télévisée E Macron vient d’annoncer un important déversement des fonds de l’État aux entreprises en appelant les collectivités locales à participer à ce soutien ce qui contredit les discours d’hier sur le manque de moyens pour répondre aux revendications formulées par toutes celles et ceux qui se sont battus durant ces deux dernières années.

Les grands groupes ne vont pas manquer de se saisir de cette opportunité pour accentuer la pression sur les PME et étrangler les TPE qui prennent des parts de marché aux grands groupes de la grande distribution, du bâtiment et des travaux publics, de la restauration, des transports, de l’agro-alimentation, etc…
Face à de tels évènements nous nous devons de faire preuve de lucidité en gardant les yeux grands ouverts sur la situation imposée aux salariés qui se conjugue à la crise financière dans laquelle se trouve le système économique mondial.

Coronavirus ou pas le Capitalisme rencontre une crise majeure liée à la baisse tendancielle de ses taux de profits, à la sur accumulation des capitaux et à l’existence d’une bulle financière constituée par l’accumulation de fonds virtuels qui lui impose de réagir pour éviter que le Krach financier provoque l’effondrement du système économique.

Confronté aux contradictions inhérentes au capitalisme, celui-ci a utilisé à plusieurs reprises dans l’histoire le recours aux guerres pour bruler du capital pour régénérer ses profits. La propagation des pandémies constitue une véritable aubaine pour rançonner les états, les collectivités et les travailleurs pour renflouer les banques et marchés financiers et puiser davantage dans les fonds publics.

Cette étape du déclenchement d’une crise financière majeure que tous les économistes sérieux nous ont expliqué depuis ces dernières années se conjugue avec la prolifération d’un virus qui montre l’aberration du maintien d’un tel système qui condamne l’intérêt général au nom des profits et de toutes les logiques de financiarisation qui ont conduit à sacrifier les services publics.
La crise sanitaire ne saurait nous conduire à ne plus réfléchir, ne plus analyser, ne plus nous exprimer et ne plus anticiper les choses au plan social, et économique.

La puissance publique en appel au renoncement à nos idées pour faire front commun à ce virus !

Comme en 1914, Macron qualifie la période de situation de guerre pour gagner l’opinion publique à l’Union sacrée en annonçant le report de la réforme des retraites et de l’indemnisation du chômage.
Ceux qui entendent saccager la solidarité fondée sur la cotisation sociale veulent profiter de la situation avec l’aval du gouvernement pour étrangler la sécu, puiser dans les fonds de l’indemnisation du chômage pour mieux demain les liquider et surtout ne pas contribuer à la solidarité.

Nous ne pouvons pas dans la Cgt rester des spectateurs béats devant autant d’hypocrisie de mensonges et de manipulations.

Une grande partie des activités sont arrêtées mais on nous annonce que seuls les établissements répondant à l’approvisionnement des besoin de première nécessité resteront ouverts mais dans les faits la circulation des marchandises sur les camions continue, les grandes surfaces sont prises d’assaut par des consommateurs poussés à des réflexes individualistes et les entreprises d’armements continuent à produire malgré les interventions de la Cgt.

Dans ce contexte nous nous trouvons avec une grande partie du salariat bloquée par principe de précaution à leurs domiciles et tout une autre partie contrainte de travailler dans des conditions invraisemblables, avec des horaires à rallonges au contact du public sans aucune protection (personnels des grandes surfaces, de la logistique, de la police, de la fonction publique hospitalière, des services de secours, …)

Pour toutes celles et ceux là le travail s’intensifie avec une pénibilité qui s’accroit, des relations au travail qui se tendent sans plus de perspectives d’évolutions professionnelles, ni augmentation de leurs salaires.
Vis-à-vis de tous ces salariés, la Cgt se doit de livrer son appréciation, porter dans le paysage social des exigences revendicatives.

Dans le secteur de l’armement rien ne justifie la poursuite des productions si ce n’est les profits des groupes et des actionnaires.

La situation nous invite à réaffirmer des fondamentaux pour la Cgt dans cette période particulièrement troublée pour repositionner dans la réflexion des salariés le combat que nous menons pour la paix, le désarmement, l’interdiction des armes nucléaires, bactériologiques et chimiques, le retour à une défense Nationale sous le contrôle des citoyens et de leurs représentants élus à l’assemblée Nationale.

Le confinement ne doit pas empêcher, la réflexion, la production d’idées, la lecture et l’expression publique de la Cgt.

Un premier principe s’impose dans notre réflexion :

  • 1) Raisonner à partir d’un point de vue de classe sans nous laisser endormir par ceux qui espèrent utiliser la situation pour faire prévaloir que le seul point de vue de la classe dominante et des possédants.
  • 2) Réfléchir sur la situation concrète de tous ceux qui nous entourent aujourd’hui sans perdre de vue la situation demain et plus tard du salariat, de tous ceux qui face au chômage, à la précarité du travail ont choisi de s’installer comme artisans, commerçants ou auto entrepreneurs à qui il sera demandé demain de renflouer les caisses de ceux qui auront pillé les fonds sociaux et publics.
  • 3) Nous nous devons d’avoir un positionnement clair et affirmer en toutes circonstances que les salariés, actifs, privés de travail et retraités ne sont ni responsables de la propagation de ce virus, pas davantage de la crise économique et qu’il n’est donc pas question d’accepter l’imposition de nouveaux sacrifices que ne va pas manquer de nous demander, la caste aux commandes du pays.
  • 4) L’état des moyens sanitaire confirme ce que la Cgt dénonce depuis des décennies, l’hôpital public et encore moins le secteur santé à but lucratif (cliniques, maisons de santé, maisons de retraites privées) sont en situation de faire face à l’ampleur des demandes. Il est donc urgent et nécessaire de concéder en urgence des crédits massifs pour l’hôpital public pour financer des postes au niveau de tous ceux supprimés depuis 10 ans.
  • 5) La France pourtant située parmi les 10 pays les plus riches du monde est incapable d’assurer une continuité de fonctionnement de ses services publics face aux crises.

Ce constat nous renvoie aux conséquences des réformes de casse orchestrées depuis plus de quarante ans par les libéraux de la droite et de la sociale démocratie et à leurs opérations de rafistolage pour transférer au secteur associatif à but lucratif, les missions de service publics notamment pour l’aide à la personne et de privatisation des outils publics.

Cette situation exige de notre part de revenir avec force sur l’égalité d’accès pour tous à des soins de qualité pris en charge à 100% par la Sécurité Sociale, à exiger un système de santé public avec des personnels sous statuts formés et payés à la hauteur de leurs qualifications et diplômes.

A l’heure ou nous réclamons des formations massives de médecins, des dispositifs pour parvenir à des équivalence de formations, de connaissances entre les médecins et para médicaux formés en France avec ceux venant des pays extérieurs, la pandémie à laquelle nous sommes amenés à faire face demande de notre part d’intervenir partout de faire pression sur les représentants de l’État, les élus pour exiger d’autres réponses que les sempiternelles litanies des représentants des ARS dans les territoires aux ordres des différents ministères de la santé.

  • 6) L’ampleur des problèmes posés par la rapidité de la propagation du Covid19 nous montre de manière éclatante que la casse orchestrée depuis plus de quarante ans de l’hôpital public, des Epads qui en dépendent exigent que tous les progressistes sortent des raisonnements de boutiques pour renouer avec une dynamique de luttes autour de grandes ambitions collectives inscrites dans la perspective de faire prévaloir avant tout autre considération l’intérêt général.
  • 7) Les moyens pour l’hôpital public sont intimement liés à la place de la Sécurité sociale, à sa gestion, son fonctionnement complètement coupés du pouvoir des salariés qui la finance.

Nous ne pouvons pas ignorer que le gouvernement avec son projet de réforme des retraites entend fermer les Carsat, la branche retraite de la sécu et suivra les accidents du travail et maladie professionnelle et services prévention de la Sécu.
Les casseurs doivent être mis devant leurs contradictions, ils veulent en finir avec la Sécu et là ils demandent à la sécu de contribuer à la prise en charge des salariés pour exonérer les patrons de leurs responsabilités que certains qualifieront de sociales !

  • 8) La question de la recherche, des industries pharmaceutiques, nous renvoi également à la mission de la sécurité sociale, aux responsabilités de l’État et à l’impérieuse nécessité de Nationaliser ce secteur et donner les moyens à la recherche publique.
  • Si nous étions dans une autre logique nous ne serions pas démunis face à un virus qui certes peut avoir muté mais qui était connu par de nombreux scientifiques.

La Cgt dans ce moment charnière de notre histoire peut retrouver toute sa place dans la société Française et redonner une image plus attractive du syndicalisme de classe.

Soit, nous sommes les moteurs de l’émancipation du salariat à la domination de la finance, les promoteurs de nouvelles ambitions collectives, humanistes et accessibles maintenant avec l’appui des salariés et du peuple rassemblés, soit nous risquons d’être relayés au rang de tous ceux qui sont discrédités par les discours à géométrie variable, les promesses non tenues, la démagogie, les calcul de places et de financements.

Il ne peut donc ni aujourd’hui ni demain être question pour la Cgt d’entrer dans la logique d’Union Sacrée promotionnée par Macron pour consentir et participer demain à tous les sacrifices qu’ils ne vont pas manquer d’essayer de nous imposer avec l’aval du camp réformiste.

La plupart des entreprises sont arrêtées, les services publics fermés avec des conséquences qui seront terribles pour nombre de petites et moyennes entreprises et pour leurs salariés.

Nous connaissons déjà des centaines de licenciements annoncées en quelques jours dans la Région Centre Val de Loire, des milliers de salariés mis en chômage partiel et beaucoup d’autres arrêtés qui ne connaissent pas le sort qui va leur être réservé !

Cet arrêt des activités économique va être une formidable opportunité pour les grands groupes pour accélérer demain à leur guise la réorganisation de l’ensemble des activités et modeler les systèmes sociaux à leurs exigences.
Au-delà des risques pour la population de la propagation d’un virus connu depuis le début des années deux mille mais dont les chercheurs faute de moyens suffisant ont reporté leurs travaux de recherche, il est impératif pour nous dans la Cgt de ne rien faire et laisser faire qui conduirait à favoriser la propagation de cette pandémie mais de tout mettre en œuvre pour protéger la santé des salariés et préserver leurs intérêts.

De nombreuses structures de la Cgt ont d’ores et déjà décidé de suspendre toutes réunions, congrès et fermer l’accès aux locaux des UL et UD afin d’éviter les risques de propagation de virus.

Au plan régional nous nous trouvons contraints aux mêmes obligations sans toutefois suspendre l’expression de la Cgt.
Pour autant nous devons continuer à nourrir du lien dans la Cgt avec tous les syndiqués, à continuer à réfléchir collectivement pour anticiper la suite et ne pas céder aux pressions de ceux qui entendent se saisir de la situation pour éteindre l’activité syndicale.

Les débats parlementaires sur les retraites sont différés, la réforme du système d’indemnisation du chômage est également reportée mais pas abandonnées.
Dans ce contexte à la mesure de nos moyens pour nous exprimer, nous nous devons de formuler partout nos exigences revendicatives pour apporter des réponses concrètes aux salariés et habitants.

Si nous allons avoir quelques difficultés pendant plusieurs semaines pour nous réunir, les outils de communications à notre disposition peuvent être utilisés pour échanger, formuler des propositions faire naitre des réactions individuelles qui deviendrons collectives pour interpeller les pouvoirs publics et le patronat.

Cette période doit également nous permettre de réfléchir à ce qu’il faudra engager partout demain pour gagner sur les retraites, la Sécurité Sociale et l’indemnisation du chômage sans faire l’impasse sur ce qui a manqué, sur l’absence de lisibilité dans notre stratégie syndicale et le besoin de précisions sur nos propositions notamment concernant les 20à 50ans.

Dans cette situation inédite, la Cgt peut continuer à montrer son efficacité pour relever les défis de conquêtes dont les salariés ont et auront besoins demain.

C’est à nous tous ensemble d’apporter notre pierre à l’édifice en commençant là ou nous sommes assignés par nos échanges avec nos voisins, dans nos familles auprès de toutes celles et ceux que nous pouvons côtoyer.

Bon courage à toutes et tous, on ne lâche rien.

Ph Cordat
Secrétaire de l’Union Régionale centre Val de Loire de la Cgt


Commentaire de Manu Lepine de la FNIC-CGT

Chers camarades
Une posture que je partage et qui converge en tous points avec l’expression FNIC-CGT diffusée hier (Lire Ici)

Puisque l’expression est plus nourrie que notre circulaire, sans vouloir en rajouter dans le détail, je me permets d’attirer l’attention sur 3 points qui complètent ou précisent le propos dans le même sens :

  • - L’état catastrophique de l’hôpital public (on explique aujourd’hui qu’avec 700 personnes dans toute la France, présentes en réanimation, les hôpitaux sont au bord de l’asphyxie !!) est révélateur non seulement des déserts médicaux, mais des immenses zones rurales et péri-urbaines de relégation dénoncées par les gilets jaunes, en matière de service public.
  • - Sur la Sécurité sociale, la gouvernance doit bien sûr revenir aux assurés sociaux et éjectant la bourgeoisie, mais dans les mesures urgentes, rappelons la nécessité d’augmenter drastiquement la cotisation sociale, ce que les médias nomment le coût du travail. Les profits ont atteints des sommets vertigineux, et pourtant Macron, comme tu l’écris (Philippe Cordat), débloque en une nuit 300 milliards pour le capital alors qu’on nous explique depuis des mois et des années qu’il n’y a pas d’argent pour les retraites ni le chômage, malgré des millions d’heures de grève. On est bien dans le dogme !
  • - Les nationalisations : Ne pas les limiter à l’industrie pharmaceutique, l’énergie y compris le pétrole, les banques et assurances, les grands secteurs structurants de l’industrie doivent l’être aussi.

Je vois passer des expressions ahurissantes actuellement, comme la dernière circulaire Indecosa qui titre tout de même « L’Unité nationale face au CORONAVIRUS ne se fera pas sans les représentants des usagers de santé et des consommateurs » !!

La direction de la confédération se vautre aussi dans la collaboration de classes avec le communiqué d’hier, qui salue positivement la suspension des réformes et qui ne dénonce à aucun moment l’union sacrée des patrons et des travailleurs. Jouhaux-Martinez, même combat.

Les syndicats heureusement sont au combat, dans de nombreux endroits, ils exigent l’arrêt des productions. Il leur faudrait un bloc-notes lisible, juridico-politique, sur les possibilités individuelles et collectives de se soustraire aux dangers auxquels veulent les soumettre les employeurs.

Le DLAJ devrait y travailler d’arrache-pied normalement, j’ignore si c’est le cas, mais si nos syndicats l’ont en même temps que la version 2 de Cogitiel, l’épidémie sera vaincue ou bien aura exterminée la moitié de l’humanité.

Fraternellement,

   

Messages

  • 1. Une CGT plus que jamais a la hauteur des enjeux
    19 mars 2020, 13:52 - par RICHARD PALAO


    Heureusement qu’ a la CGT il y a des responsables de base qui font leur boulot pour compenser au mieux le silence assourdissant de la confederation

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