Les crimes épouventables des occidentaux en Corée

Lorsque l’on parle de la Corée, je pense qu’il faut toujours rappeler les crimes US en Corée pendant la guerre de 1950 à 1953, car la propagande en occident a tellement menti contre la Corée du Nord, que les gens ne comprennent pas. La macronie prend d’ailleurs l’exemple : “si vous n’êtes pas content de Macron et sa politique aller voir en Corée du Nord” - Ce qui signifie que pour la macronie, la France serait le pire régime politique du monde après la Corée du nord ! ! ! Rappel : Pourquoi les occidentaux peuvent toujours grimper aux rideaux et ne seront pas écoutés en Corée ; surtout au Nord, mais pas seulement…

Photo de 2008 montrant la culée en béton à l’extérieur du pont No Gun Ri, où la peinture blanche des enquêteurs identifie des marques de balles et des fragments incrustés provenant des tirs de l’armée américaine lors de l’assassinat de réfugiés sud-coréens en 1950 (Cjthanley, CC BY-SA 3.0, Wikimedia Commons)

Les USA étaient à la tête des troupes occidentales en Corée de 50 à 53.

Dans cette photographie de juillet 1950, classée « top secret » par l’armée américaine, des soldats sud-coréens marchent parmi les milliers de prisonniers politiques sud-coréens abattus à Taejon, en Corée du Sud, au début de la guerre de Corée (Major Abbott/Armée américaine, Wikimedia Commons)

Les leçons oubliées de la Guerre de Corée sur la folie de l’interventionnisme américain (extrait) :
…Abattre en masse des civils est devenu une procédure de routine après l’intervention de l’armée chinoise dans la guerre de Corée à la fin de 1950. MacArthur a parlé de transformer le territoire nord-coréen en un « désert ». L’armée US a finalement « élargi sa définition d’une cible militaire à toute structure pouvant abriter des troupes ou des fournitures ennemies. »

Le général Curtis LeMay [Il aurait inspiré à Stanley Kubrick le général de son film « Docteur Folamour », NdT] a résumé les réalisations : « Nous avons brûlé toutes les villes de Corée du Nord… et certaines de Corée du Sud aussi. » Un million de civils ont peut-être été tués pendant la guerre. Une commission de vérité et de réconciliation du gouvernement sud-coréen a mis au jour de nombreuses atrocités qui n’avaient pas été signalées auparavant et a conclu que « les troupes américaines ont tué des groupes de civils sud-coréens à 138 reprises pendant la guerre de Corée », a rapporté le New York Times…
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La Russie en Corée du Nord renoue avec les liens de l’URSS

Illustration ; de la Chine, on peut voir les Nord-Coréens chercher de l’or le long des rives du Yalou. Pour se protéger des températures négatives, ils portent des combinaisons en caoutchouc. Selon un article publié par Reuters, la Corée du Nord possède environ 2 000 tonnes de réserves d’or, soit la sixième plus grande du monde.

On a coutume en France de se moquer de la Corée du Nord et pire encore de rapporter comme s’il s’agissait de vérités avérés les fantaisies des tabloïds d’extrême-droite de la Corée du Sud répercutée par la presse de Rupert Murdoch gestionnaire des tabloïds les plus suspects du monde anglo-saxon. La réalité est infiniment plus complexe.

La Corée du Nord possède des ressources minérales d’au moins 10 000 milliards de dollars. La Russie ignore les sanctions et commence l’exploitation minière conjointe avec l’État du Juche nous explique cet article émanant du cercle de paix hongrois. Les immenses ressources de la Corée du nord en particulier en minéraux et terres rares ont été sous-exploitées à cause du blocus dont ce pays est victime. Mais désormais il devient plus aisé de vaincre ces blocus surtout quand il s’agit de voisins ayant eu jadis des relations très étroites non seulement avant la chute de l’URSS mais dès le rapport Khrouchtchev et la querelle sino-soviétique (note de Danielle Bleitrach, traduction deepl)

Selon les estimations de l’industrie, les montagnes Jongju en Corée du Nord contiennent plus de 210 millions de tonnes de métaux des terres rares. Cela pourrait signifier six fois les stocks chinois et jusqu’aux deux tiers des stocks mondiaux connus.
On ne savait pas non plus que dans la zone maritime de la zone économique exclusive de la RPDC, il y a environ 4 milliards de mètres cubes de pétrole et 50 milliards de mètres cube de réserves de gaz naturel. Sur la base de cela, la Corée du Nord est classée 8e dans le monde. Elle pourrait devenir le plus grand État producteur d’énergie, devant les EAU.
Le potentiel minéral et énergétique de la Corée du Nord n’a pas encore été envisagé par le marché mondial, car leur production et leur vente ont été rendues impossibles par les sanctions contre la République démocratique de Corée du Nord.

Les Chinois font du tourisme à la frontière Coréenne et Marianne qui a pratiqué ce tourisme m’expliquait que les touristes chinois applaudissaient “la pureté révolutionnaire” et la résistance des Coréens du nord.

D’autre part, la coopération entre la Russie et la Corée du Nord ne se limite pas à sa pleine exploitation.

La Russie développe la Corée du Nord

Les responsables de l’État de Moscou et de l’État nord-coréen ont tenu à Pyongyang le 16 novembre des pourparlers exhaustifs sur l’exploration commune de gisements d’or et de métaux de terres rares dans la partie nord de la péninsule coréenne, ainsi que sur la coopération technique pour l’extraction des réserves d’hydrogène offshore (NDLR pas le vrai H2 naturel, mais celui dit « vert » fabriqué).

Lors de la réunion, les parties ont également préparé des accords sur la stimulation globale du commerce alimentaire entre les deux pays, qui entreraient en vigueur dès le début de l’année prochaine. Selon les accords, la Russie va multiplier les exportations de farine, de maïs et d’huile de soja vers la Corée du Nord, et commencera également la livraison de viande et de produits carnés, garantissant ainsi la sécurité alimentaire de la Corée du Nord.

L’augmentation de la production de minerai de fer, de cuivre, d’or, de tungstène et de zinc de la Corée du Nord fournira les matières premières des voitures électriques, des outils informatiques de haute technologie et des systèmes d’armes modernes avec beaucoup de matières premières à la Russie qui les achète ; et bien sûr à l’État du Juche lui-même.

La production de vecteurs énergétiques à partir des eaux côtières peut assurer la sécurité énergétique de la Corée du Nord pendant plusieurs générations, tout en permettant au pays d’exporter des recettes via le réseau de transit russe.
L’apparition de la Russie en tant qu’exportateur alimentaire apporterait une solution à l’un des problèmes clés de la Corée du Nord.

La partie septentrionale de la péninsule coréenne est une région avec l’une des pires conditions agricoles de la région d’Extrême-Orient en raison de ses caractéristiques géologiques et climatiques. Les deux tiers des terres propices à la culture agricole tombent sur le territoire de la Corée du Sud, de sorte que la croissance des plantes alimentaires et des plantes fourragères a été un défi constant pour la partie nord du pays au cours des dernières décennies. Les exportations russes, qui assurent une disponibilité permanente de plantes fourragères et de certains aliments de base, permettent à la RPDC de libérer considérablement des ressources qui ont été arrêtées par leurs efforts pour les produire.

La Corée du Nord, obsédée par l’autodétermination de l’État, n’a jamais adhéré au traité de Varsovie et a toujours catégoriquement rejeté l’adhésion à la Kominform.

Malgré tout cela, jusqu’au milieu des années 1970, l’Union soviétique était le principal partenaire commercial de Pengchen. L’État de Juche a reçu de la nourriture, des vecteurs énergétiques, des engrais et des technologies de base. En échange de tout cela, la Corée du Nord a payé Moscou avec des minéraux industriels et en gardant la porte de l’Extrême-Orient. Grâce à cette coopération, la Corée du Nord a été l’État en développement le plus rapide de la région et – après le Japon – le deuxième État le plus développé jusqu’à la seconde moitié de la guerre froide.

Selon les derniers pourparlers, la Russie reviendrait à une forme de coopération similaire. Outre la réunion présidentielle, c’est la quatrième fois au cours des 5 derniers mois que des négociations gouvernementales sur la coopération stratégique entre la Russie et la Corée du Nord se déroulent.
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