Les mesures sur les images des forces de l’ordre s’inscrivent dans une démarche visant à "riposter" sur les réseaux sociaux. L’élément de langage est rodé, et il est répété à l’envi par Gérald Darmanin. A travers la loi “sécurité globale” examinée à l’Assemblée à partir de ce mardi 17 novembre -qui propose entre autres d’instaurer un floutage des images des policiers avant leur diffusion sur les réseaux sociaux-, il s’agit de “protéger ceux qui nous protègent”.
Même justification pour une autre disposition, moins (...)
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"Sécurité globale" : Darmanin veut gagner la "guerre des images"
Liberté pour la députée communiste palestinienne Khalida Jarrar
La camarade Khalida Jarrar, leader et députée du Front populaire de libération de la Palestine, a été condamnée par un tribunal militaire israélien à deux ans de prison pour son militantisme en faveur du peuple palestinien. Jarrar, communiste, féministe et militante pour les droits des prisonniers palestiniens, est en détention administrative depuis 2019 et souffre depuis des années d’une persécution politique brutale de la part du régime sioniste.
Huit parlementaires palestiniens élus, dont Jarrar, (...)
Assange gagne. Le coût : la liberté de la presse est écrasée, et la dissidence qualifiée de maladie mentale
La décision inattendue de la juge Vanessa Baraitser de rejeter la demande américaine d’extradition de Julian Assange, déjouant ainsi les efforts visant à l’envoyer dans une prison américaine pour le reste de sa vie, est une victoire juridique bienvenue, mais elle est submergée par des leçons plus importantes qui devraient nous troubler profondément.
Ceux qui ont fait campagne avec tant de vigueur pour que le cas d’Assange reste sous les feux de la rampe, alors même que les médias commerciaux (...)
Déclaration de Georges Abdallah – 18 juin 2022
18 juin, manifestation pour la libération de Georges Abdallah - 19 juin, journée internationale du prisonnier révolutionnaire.
Cher« e »s Camarades, Cher« e »s ami« e »s,
Par ce temps de crises, de guerre et de grandes luttes, vous savoir mobilisés aujourd’hui, comme tous les ans, à célébrer dans la rue la « Journée Internationale du Prisonnier Révolutionnaire » me remplit de force et me réchauffe le cœur aussi. Votre mobilisation Camarades, dans la diversité de votre engagement, est plus que (...)
Qui diable était Henri Martin ? Que diantre s’est-il passé à Stalingrad ?
A Paris, le seizième arrondissement, l’un des plus bourgeois d’une métropole qui eut un passé ouvrier, et n’a plus guère qu’un présent « bobo », disposé d’une longue avenue Henri Martin. Comme la plupart des noms de rues, en nos temps où le GPS guide le flot automobile plus que la connaissance des lieux, il n’évoque rien pour la plupart. Il est vrai que le nom Martin est un des plus courants des familles françaises. Les quelques retraités en promenade qui répondront à vos questions à ce sujet, citeront un (...)
En 2022, les travailleurs sans-papiers du groupe La Poste toujours en lutte
Des postiers sans-papiers travaillant pour deux filiales du groupe La Poste dans le secteur du colis sont actuellement en lutte : depuis le 15 novembre pour les DPD du Coudray-Montceaux (91), depuis le 3 décembre pour les Chronopost d’Alfortville (94).
Devant chacun de ces deux sites, un piquet de grève est tenu jour et nuit. Dans les deux cas, ces travailleurs sont victimes du même système de sous-traitance en cascade (donneur d’ordre, sous-traitant, agence d’intérim) mis en place par La Poste. (...)
Pandémie et incurie de l’État : qui paiera les dommages ?
Qui paiera ?
Les multiples conséquences humaines et économiques de la mauvaise gestion de la pandémie posent la question de la responsabilité de l’État envers les victimes.
Au XIXème siècle, l’État pouvait commettre n’importe quelle faute dans l’exercice de ses prérogatives de puissance publique sans engager sa responsabilité. Les erreurs du gouvernement dans la lutte contre les maladies, les incendies, les émeutes ou encore les terroristes n’avaient aucune conséquence juridique envers les victimes.
Le (...)
Georges Abdallah dans les prisons françaises depuis 38 ans : une ignominie.
Nous vous proposons un très beau texte de notre camarade Pierre Stambul de l’Union Juive Française pour la Paix, car nous ne pouvons pas oublier que notre président d’honneur, Georges Ibrahim Abdallah, est le plus ancien prisonnier politique du monde dit "libre" !. Et il est en prison dans notre pays. Mais cela ne semble pas inquiéter outre mesure nos marchands de droit-de-l’hommisme. Car en fait de justice, ce n’est qu’une basse vengeance des américains et des israéliens à qui nos gouvernements (...)
Une délégation libanaise auprès de Georges Abdallah
Vendredi 19 mars, Georges Abdallah a reçu, pour la troisième fois, la visite de M. Rami Adwan, ambassadeur du Liban en France, cette fois accompagné de Mme Marie-Claude Najm, ministre de la Justice du gouvernement libanais démissionnaire. Ils lui rapportèrent entre autres les salutations du gouvernement libanais et de son président.
La visite de la ministre de la Justice libanaise était conditionnée à ce qu’il n’y ait aucune déclaration ni antérieure ni ultérieure…
Rappelons-nous qu’en d’autres (...)
Le Conseil d’État cloué au pilori : la négation de la justice
« On ne peut à la fois être juge et parti » constitue l’un des principes fondamentaux des droits fondamentaux qui renvoie aux notions d’indépendance et, surtout, d’impartialité. L’expression est inspirée de locutions latines juridiques, telles que nemo iudex in causa sua (nul ne peut être à la fois juge et partie), aliquis non debet esse judex in propria causa, quia non potest esse judex et pars (personne ne doit être juge de sa propre cause, parce qu’il n’est pas possible d’être juge et partie), et (...)
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