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La Résolution pour l’abrogation de la réforme des retraites votée à l’Assemblée nationale sur proposition du PCF
lundi 9 juin 2025 par Alain Chancogne/J.P Page (URC)
Un commentaire de notre camarade Alain Chancogne (URC) suivi d’un rajout de notre camarde Jean-Pierre Page (URC)
Voilà enfin du Syndicalisme... de classe (maternelle, et CP).
Mes anciens copains des Banques et Assurances qui sur FB et ailleurs déversent des seaux de vomi sur mon nom, insinuant, que mon passage en correctionnelle en 2014 aurait un rapport avec mon honnêteté , etc, etc
.. vont donc apprécier que je salue ce genre de post ô combien... mobilisateur😢😢
Avec un cours de règlement intérieur de l’assemblée, dont nous savons depuis juillet dernier, vu la Victoire écrasante du NFP, "majoritaire" selon la nouvelle définition "démocratique", et qui a permis de barrer la route à Adolf Bardella, grâce à la MOBILISATION Prolétarienne dans les circonscriptions ou l’ex socialiste Élisabeth QuranteNeufTrois, et le FTP Darmanin auraient pu être dépités, au second tour, et pointer à Pôle Emploi avec un quasi léniniste, nordique cuistot, défenseur de Che Zelinski, et des FTP Azov... qu’elle est devenue le QG de la Marche au Socialisme, une sorte de Soviet ou enfin, les Masses font entendre leurs voix.
Même s’ils les ont" données " par procuration pour 5 ans, à ceux et celles qui évitent les tensions sociales, les prises d’usagers en otage, le chaos, la chienlit, voire les heures supplémentaires d’eborgneurs, d’arracheurs de mains, sans compter la violence anti-abris bus républicains....
J’ai mis MOBILISATION en majuscules, car ce qui est la preuve que le dernier Congrès de la CGT a vraiment été de radicale rupture d’avec l’ère Martinez, c’est cette façon quasi "krasukienne" d’analyser ce vote historique de presque totale abrogation du dispositif macronien des retraites. C’est la façon dont le Camarade Brun insiste sur la définition de MOBILISATION de notre Classe, et puisqu’il s’exprime en tant que dirigeant CGT et non pas comme tel politicien de "gauche", on aura apprécié les références à 36, à Mai 68, à sa courageuse dénonciation du syndicalisme munichois aux ordres de la CES bruxelloise....
Putain le passage sur démocratie ouvrière, AG, etc, j’ai frissonné....
Mea culpa.
J’avoue avoir été jusqu’à ce matin un de ceux qui se demandaient s’il ne faudrait pas qu’un jour proche, à l’instar de ce que fut la scission des années 1920 (création d’une CGT-U restant fidèle à la Lutte des classes), des combattants de notre Camp, certes de la CGT, mais aussi d’autres militants d’autres orgas, ne créent une sorte Confédération qui redevienne un réel, visible, Outil" travaillant" avec volonté affirmée et pratique conséquente, à l’objectif d’inverser les rapports de force entre Travail et Capital.
Bref, un "machin" avec un genre de Charte d’Amiens 2025 dont on relira les termes...
Mais j’ai lu le Manifeste de Brun ! [1]
Ouf !!.
Je vais vite l’envoyer à des Jean-Pierre Page, ou des Julie Cerise qui ont été injustement repérés, par des militants "responsables", (pas, comme moi, de salopards agresseurs de l’intrépide Sophie)... comme ayant été manipulés par des "anticommunistes et anticégétistes du Nord ou des Bouches du Rhône....
Dont on connaît le Grand mufti phocéen, le motard Hoareau.
Que je vais tenter de calmer la semaine prochaine.
C’est pas gagné.
Il a, sur place, un putain de SO anisé, un commando menaçant pas encore dissous par Retailleau, les Rouges Vifs / ANC 13 avec des Oleg Souvarine, des Henry Ansaldi, des Corine Ferrer, des Viirge Piazzolla-Dalessio, des Nadya Zekata ...
Et le fourbe Olivier Mateu-Medina
De toutes facons, s’il fait beau, je vais BRUN-ir😉
Les "rayons" du soleil sur la Canebière c’est quand même moins crevant que ceux de radiothérapie Cyberlink en oncologie bordelaise.
Jean-Pierre Page
Pratiquement le même jour le conclave propose d’aller vers les 67ans 1/2. Les syndicats sont indignés après avoir cautionner cette farce à laquelle ils ont participé dans le cadre du "dialogue social" voulu par Bayrou qui déjà avait déclaré qu’il était hors de question de changer quoi que ce soit sur l’application de la"reforme" des retraites.
Macron avait dit Non à Binet qui pourtant avait voté pour lui. Ce vote à l’Assemblée nationale ne change rien pour les travailleurs, il faut s’appeller Brun pour y voir une victoire. En fait il fallait sauver les apparences de ce qui a été une défaite.
En volant au secours du PcF, Brun/Binet ont joué leur rôle. Pour eux il est temps de passer a autre chose.
La lutte des classes attendra !
