Qu’est ce qui dérange dans la campagne mondiale alarmiste portant sur le réchauffement climatique ? Qu’est-ce qui cloche dans cette psychose planétaire ? Indépendamment de la question scientifique en elle-même, il y a quelque chose qui sonne faux.
Les effets réels du réchauffement climatique, qu’il s’agisse du niveau des océans ou des changements de la biosphère, et qui sont observables à l’échelle de temps de la vie d’un individu humain sont plutôt faibles, voire infinitésimaux, et souvent discutables. (...)
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Qu’est-ce qui sonne faux dans la campagne mondiale sur le réchauffement climatique ?
La guerre de l’eau a commencé : L’Iran et l’Afghanistan se disputent l’eau du Helmand sur fond de réchauffement climatique
Les zones de confrontation pour l’accès à l’eau se multiplient sur les cinq continents, à mesure que la population augmente et que la ressource se raréfie : Sénégal-Mauritanie, un barrage au Sahel ; Slovaquie-Hongrie, un bras de fer sur le Danube ; et bien sur, Ukraine-Russie avec le canal de Crimée ; au Liban, le château d’eau du Moyen-Orient s’assèche petit à petit ; Turquie-Irak-Syrie où le droit à l’eau revient au plus fort ; Éthiopie avec un barrage sur le Nil provoquant une crise régionale ; Yémen où (...)
45°C au Soudan du Sud, 42°C au Brésil et 41°C au Maroc : l’hémisphère Sud suffoque sous des chaleurs records
Rouge écarlate, voire noire. Sur les cartes représentant les anomalies de température, l’Amérique du Sud et l’Afrique détonent. Les deux continents suffoquent sous des chaleurs extrêmes depuis plusieurs jours, faisant tomber les uns après les autres les records de températures. Au Soudan du Sud, les écoles ont même été contraintes de fermer leurs portes (photo), pour une durée indéterminée. Une première dans un pays où les fortes chaleurs ne sont pas rares.
Les cartes parlent d’elles-mêmes. Les pays compris (...)
Climat : les émissions passées vont imputer nos revenus de 20% d’ici 2050
Le coût de l’inaction climatique s’avère déjà très élevée. Rien que pour les émissions passées, il sera d’ici 2050 six fois plus important que le coût de l’action climatique pour limiter le réchauffement à 2°C, révèlent des chercheurs de l’Institut de recherche sur l’impact climatique (PIK) de Potsdam, dans une étude publiée dans la revue Nature.
38 000 milliards de dollars par an, c’est l’impact économique du changement climatique sur les revenus d’ici 2050. C’est ce que révèle une nouvelle étude inédite (...)
L’hémisphère sud de notre planète brule...
L’hémisphère sud de notre planète est en train de subir la même canicule que l’hémisphère nord l’été dernier. Depuis le 3 janvier le Chili est la proie des flammes entrainant la mort et la désolation. Comme la lutte pour la paix, le combat pour la régulation du climat est vital pour l’espèce humaine.(JP-ANC)
Chili : des incendies gigantesques dévorent près de 300 000 hectares en Cinq jours.
Le réchauffement climatique s’accélère à toute vitesse. En France, on estime que la température moyenne a déjà (...)
Pourquoi les mégabassines posent l’enjeu grandissant de l’accaparement de l’eau
Ici encore, le capitalisme "agricole" fait montre de toute sa nocivité et de son mépris insolent de l’avenir. Pourquoi ne pas plutôt changer notre fusil d’épaule et s’interroger, sur, qui à vraiment besoin de viande industrielle, sinon les plus pauvres d’entre-nous et les actionnaires des grands groupes de l’agro-alimentaire ? La lutte de classe, toujours la lutte de classe... (JP-ANC)
Le week-end dernier, la mobilisation de collectifs écologistes et de paysans contre les mégabassines a franchi un (...)
Catastrophe climatique au Pakistan : l’inaction des pays développés coûte cher
Sauf les demeurés, tout le monde comprend maintenant qu’on ne se tirera pas véritablement de la situation présente par des rustines du style de la transition vers un « capitalisme-respectueux-de-l’environnement » ! C’est un oxymore ! Le capitalisme c’est l’exploitation de l’homme par l’homme, la mise en coupe réglée de la nature et la pollution à tout va. Nous avons eu nos incendies et le Pakistan une mousson d’enfer. Robert Sandford explique comment de telles catastrophes sont liées au changement (...)