Des machines payées par de l’argent public à destination d’une usine française... qui finissent sur d’autres sites européens. C’est la découverte embarrassante qu’ont faite les syndicats du groupe Michelin, l’un des grands bénéficiaires des aides de l’Etat aux entreprises, comme le révèle "Complément d’enquête" dans son émission de jeudi.
Parmi les grands bénéficiaires des aides de l’Etat, le groupe Michelin. En 2024, ce fleuron de l’industrie française en a perçu pour plus de 140 (…)
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Articles
Aides aux entreprises : quand Michelin envoie à l’étranger des machines achetées avec l’argent public
Propagande militaire sur France Info TV . Rafowicz quand tu nous tiens !
Jamais un porte-parole d’une armée étrangère n’a disposé d’une tribune aussi large sur les médias français pour déballer ce que l’on ne peut qualifier autrement que de propagande. Et France Info TV n’est pas en reste. Puisque ce colonel de l’armée Israélienne intervient très régulièrement sur nos antennes, interrogé au cours de longues Interviews qui durent parfois plus de dix minutes, avec une déférence qui ne laisse pas d’étonner.
La médaille militaire pourrait être décernée â la chaîne (…)
‘Otages’ et ‘prisonniers’ : comment les médias invisibilisent la souffrance des Palestiniens
Depuis le 7 octobre, les médias qualifient systématiquement les Israéliens détenus à Gaza d’« otages », y compris les soldats de l’occupation, tandis que les Palestiniens, même enfants, sont désignés comme « prisonniers ». Ce langage biaisé efface la souffrance palestinienne et impose un récit falsifié, érigé en dogme. La suspension d’un journaliste de France Info pour avoir qualifié des Palestiniens libérés d’« otages » en est une illustration flagrante.
Depuis le 7 octobre 2023, une (…)
Massacres à Gaza : l’indécence des médias français
« Mardi 18 mars 2025, plus de 400 personnes, femmes, enfants et hommes gazaouis meurent »
Le terme de massacre pour qualifier les bombardements à Gaza n’est quasiment jamais utilisé par les médias français, hormis à gauche. Les Gazaouis ne meurent que dans des « ruptures de trêve » ou des « reprises de bombardements », toujours justifiées par l’armée israélienne. Et le vrai risque, c’est la mise en danger des otages. Israéliens, bien entendu.
Mardi 18 mars 2025, plus de 400 personnes, (…)

