Les projets de Netanyahu visant à amputer la Syrie de sa partie sud et à faire jouer aux Druzes le rôle de « traîtres » vont-ils réussir ? Pourquoi les nouvelles autorités syriennes restent-elles les bras croisés ?
Avec l’aide des États-Unis et de l’administration Trump, Benjamin Netanyahu a l’intention de renforcer son emprise sur le sud du Liban et le sud de la Syrie pour masquer ses revers dans la bande de Gaza et en Cisjordanie.
Il s’attache désormais à reproduire le même scénario dans le sud de (...)
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Le projet israélien pour la Syrie, c’est le démembrement et une nouvelle guerre civile

Syrie : Pour quelques dollars de plus !

L’escouade d’Hollywood Cette fois, l’Observatoire des Droits de l’Homme syrien qui, depuis 2011, a donné toute sorte d’informations sur les exactions de l’horrible dictateur Bachar Al Assad contre son peuple à partir de son arrière boutique de Londres n’a pas relayé l’attaque au gaz de Douma ce 7 avril 2018. Ni le Croissant Rouge syrien ni la coordination de l’ONU en Syrie, présents tous deux dans la Ghouta orientale, n’ont été en mesure de confirmer l’existence de victimes d’une intoxication aux armes (...)
Syrie : le grand aveuglement...

On commence enfin à y voir plus clair sur la Syrie… La chape de plomb idéologique finit par se craqueler grâce à quelques orfèvres à qui on finira bien par rendre hommage un de ces jours prochains : l’ambassadeur Michel Raimbaud, le journaliste Majed Nehmé, l’ancien espion Alain Chouet, l’historien Frédéric Pichon, le politologue René Naba, l’oncle Bassam Tahhan, le géographe Fabrice Balanche, l’essayiste Michel Collon et quelques autres qui nous pardonneront de ne pas les avoir cités nommément.
Une (...)
Selon le dirigeant de la Syrie, il faudra quatre ans pour organiser des élections

“L’élaboration d’une constitution solide est une tâche complexe et de longue haleine. Organiser des élections peut prendre quatre ans, car elles nécessitent un recensement exhaustif de la population”. Ahmad al-Sharaa a déclaré qu’il faudrait trois ans pour rédiger une nouvelle constitution.
Le dirigeant de facto de la Syrie, le chef de Hayat Tahrir al-Sham (HTS) Ahmad al-Sharaa (Abu Mohammad al-Jolani), a déclaré le 29 décembre que la tenue d’élections et la rédaction d’une constitution pour le pays (...)
Les véritables intentions du sultan Erdogan

Il n’est même pas certain que les Américains autorisent la Turquie à former la nouvelle armée syrienne. L’Occident dispose désormais d’un levier économique absolu.
Au menu, un banquet géopolitique servi par quelques-uns des meilleurs analystes indépendants, de Bursa à Diyarbakir. STANBUL - La scène se déroule dans un restaurant circassien de la célèbre rue Istiklal, dans le quartier historique de Beyoglu. Au menu, un banquet géopolitique servi par quelques-uns des meilleurs analystes indépendants de (...)
Les causes de l’effondrement de l’État syrien

Intervention de notre camarade Bruno Drwreski lors de l’Assemblée pour la souveraineté des peuples et le 79ème anniversaire patriotique de la Syrie, à Tunis.
Toute analyse scientifique du renversement d’un régime politique à l’heure de l’impérialisme doit poser la question du rôle des impérialistes dans cet événement et des causes de l’absence de cohésion suffisante de l’État renversé. Dans le cas de la Syrie il y a quelques faits qu’il faut d’abord rappeler.
La victoire des (...)
Intervention turque en Syrie : la révolution politique du Rojava menacée de toute part

"La violence n’est pas un moyen parmi d’autres d’atteindre la fin, mais le choix délibéré d’atteindre la fin par n’importe quel moyen." (Jean-Paul Sartre)[NDLR]
Pour la troisième fois en trois ans, l’armée turque pénètre dans le nord de la Syrie, menaçant l’auto-organisation démocratique, féministe et multiethnique créée par les Kurdes au Rojava. Malgré un intense ballet diplomatique Recep Tayyip Erdogan conserve les mains libres, d’autant qu’il n’est pas le seul à souhaiter la disparition de cette (...)
Syrie : la très sage décision de Donald Trump

Il l’avait promis, il l’a fait : Donald Trump ramène la troupe à la maison, soit les quelques deux mille soldats des forces spéciales engagées en Syrie et la moitié du contingent d’Afghanistan, environ 7000 hommes. Ce faisant, le président américain confirme ses deux obsessions récurrentes : se faire réélire pour un prochain mandat en respectant à la lettre la liste de ses promesses électorales et faire tout le contraire de ce qu’a essayé de réaliser son prédécesseur Barack Obama.
Sur le dossier syrien, (...)
En Syrie, le retrait américain exacerbe les incertitudes

La Maison Blanche a décidé le retrait des forces américaines de Syrie. Le président Donald Trump a tweeté : « Nous avons vaincu Daech en Syrie, ma seule raison d’y être pendant la présidence Trump ». Quelle sera la prochaine étape ?
Selon une blague sinistre en vogue à Washington, la fin de la présence américaine dans le nord-est de la Syrie n’était qu’à un tweet de Donald Trump. La plaisanterie est devenue réalité avec l’annonce soudaine du retrait des deux mille soldats américains de Syrie, comme Trump (...)
Les forces américaines poursuivent le pillage flagrant du pétrole syrien, « exposant ainsi leur nature de gangster »

Les États-Unis continuent d’aggraver les choses dans la Syrie déchirée par le conflit et frappée par la pauvreté en raison de leur pillage flagrant des ressources minérales syriennes, en particulier du pétrole. Alors que le vol des États-Unis a entraîné des pertes pour le gouvernement syrien pouvant atteindre 107,1 milliards de dollars, les experts ont déclaré que ce comportement révélait la nature de gangster des États-Unis.
Selon les médias d’État syriens, l’agence de presse arabe syrienne (SANA), les (...)