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J’accuse : il ne peut pas y avoir de hasard dans ce qui se passe au PCF…

lundi 28 septembre 2020 par ANC

Un article paru sur le blog de Danielle BLEITRACH a donné lieu à un intéressant échange avec Jean Pierre PAGE rendu public par Danielle. Il a semblé important à l’ANC de publier cet article et des extraits de l’échange pour ce qu’ils donnent à réfléchir sur le mouvement communiste français (mais pas que) et son histoire.

En fin de publication nous donnons le point de vue de l’ANC sur deux questions que nous avons à la suite de cette enrichissante lecture.

J’accuse : il ne peut pas y avoir de hasard dans ce qui se passe au PCF…

À propos d’Assange et de la plupart des questions internationales, je voudrais que chacun mesure bien le frein à l’action et la confusion systématique semée à l’intérieur du PCF par une partie de la direction depuis le 38e congrès. J’ai quitté le PCF le 22 avril quand La célébration de la naissance de Lénine a été censurée… Pour pouvoir dire dans ce blog ce que je vois et je comprends de ce qui se passe.

J’accuse donc une fraction du parti unissant les “refondateurs” et l’ex-direction de s’opposer à l’action courageuse, portant ses fruits, de ceux qui avec Fabien Roussel sont en train de reprendre pied dans le monde du travail, dans les couches populaires et retrouver une part de l’estime au niveau international que le PCF avait perdu. Si j’étais restée à leurs côtés je ne pourrais pas écrire ce que j’écris ici parce qu’ils privilégient avec esprit de responsabilité l’unité du parti, la compréhension de l’ensemble des militants. Mais dans ce blog, nous sommes désormais libres de dire ce qui nous semble juste sans impliquer personne dans nos déclarations.

J’accuse donc ceux qui n’ont cessé de détruire le PCF, de l’effacer de la mémoire des Français, de le mettre à la remorque d’une social démocratie de plus en plus déconsidérée de poursuivre dans cette ligne et de le faire dans un esprit de revanche. Je les accuse d’oeuvrer consciemment ou inconsciemment en faveur de l’impérialisme et contre tous ceux qui cherchent à s’en libérer.

Avant ce congrès, c’était pire encore et ce depuis plus de 20 ans. A partir de Robert Hue, je défie quiconque de trouver dans la politique menée par la direction du PCF et le secteur international, relayée par la presse communiste, l’humanité en particulier, autre chose qu’un soutien de fait aux positions de l’OTAN et de la CIA.

Ceux qui ont été capable de cautionner l’invasion de la Yougoslavie, de promouvoir une liste “bouge l’Europe” qui s’engouffrait sans état d’âme dans cette invasion qui violait tout le droit international ont continué à promouvoir au nom d’une présupposée dénonciation des “dictateurs” toutes les invasions, qu’il s’agisse de la Libye, de la Syrie. Ils ont accompagné de leur hypocrite chœur “démocratique” toutes les atteintes et les pillages contre les peuples, ont cautionné de fait l’expédition du Mali, et fermé les yeux sur la france-afrique, fait la fine bouche devant le Venezuela, ils ont fidèlement suivi la social démocratie dans ses errances y compris en Ukraine.

Et pour cela ils ont dû inventer l’histoire du communisme, de notre propre parti pour de fait nous faire admettre la monstrueuse équivalence entre Communisme et fascisme à travers Staline égal Hitler, ce qui n’avait jamais été imaginé même quand nous avons condamné le stalinisme de 1956 à 1980. Et ils s’apprêtent à poursuivre cette entreprise immonde pour le centenaire du Parti.

La critique de ce qu’on a désigné sous le nom de Stalinisme est nécessaire, comprendre les raisons de la chute de l’URSS, indispensable mais cela doit être fait à partir de nos propres exigences et pas en suivant toutes les propagandes anti-communistes. Ceux qui affirment cette évidence sont taxés de “stalinisme” ce qui du point de vue bigot et diabolisant qui est le leur donne tous les droits sans avoir à s’expliquer. Cela va avec la destruction de toute formation des militants, un marxisme qui doit se limiter à la doxa trotskiste, une pratique politique qui se détourne de l’action et fait des organismes du parti les lieux d’un bavardage vain.

J’accuse et j’affirme que l’interdiction et la censure, la diffamation dont j’ai été la victime tout ce temps là avec d’autres, n’était pas simple mesquinerie lâcheté contre un individu mais bien un choix politique. Ceux qui comme l’actuelle direction de l’humanité ou Marie Georges Buffet ont été capable de soutenir la campagne d’u Robert Ménard contre Cuba sont capables de tout et ne changeront jamais. Il y a une logique dans le soutien à une liquidation du parti derrière Melenchon ou autre, son effacement et leurs choix internationaux. La même logique que l’on retrouve chez celle qui voit dans les blondes créatures défilant sous les drapeaux des collaborateurs nazis en Biélorussie une victoire du féminisme …

Paradoxalement, renforcer le parti communiste, lui redonner toute sa place est le contraire de la manière dont on canalise la colère des militants contre de potentiels alliés. Personnellement j’ai toujours été contre que nous nous effacions derrière Melenchon, qui n’a jamais fait mystère de là où il venait, du lambertisme et du mitterrandisme, l’anticommunisme de fait. Sa conception du mouvement dirigé d’une manière occulte par un petit groupe est le contraire d’un parti communiste.

Ce n’est pas lui le fautif mais ceux qui nous ont forcé à l’adouber comme porte parole du parti. Aujourd’hui, il ne s’agit pas de renforcer les attitudes haineuses des militants contre Mélenchon ou d’autres, au contraire, il s’agit de mesurer qu’il y a des alliances électorales, des gestions locales qui réclament l’entente, mais que la conduite d’un parti communiste, ses luttes, son programme, sa finalité doit exister d’une manière autonome et ne pas s’effacer derrière ces alliances électorales. Oui il nous faut des élus, mais des élus communistes sans un parti communiste sont soumis aux mêmes pressions, aux mêmes abandons.

Le secteur international témoigne de cette subordination totale à la social démocratie alors même que celle-ci est de plus en plus intégrée à l’hégémonie nord-américaine, à son bellicisme néo-colonial et à son refus du multilatéralisme. Nous célébrons aujourd’hui les 75 ans de l’ONU dans un contexte où les États-Unis se dirigent de plus en plus vers la guerre, le refus des organismes internationaux et une pression dictatoriale exercée contre les peuples qui résistent.

Tout cela parce qu’un autre monde est en train de surgir et que la Chine qui s’affirme socialiste sous la direction d’un parti communiste est en train d’impulser une autre direction. les militants communistes ne doivent selon le secteur international du PCF, la presse communiste, la formation, ne rien connaitre de cet enjeu…
Pourquoi ?

A partir du 38 e Congrès les choses évoluent à peine en ce qui concerne le secteur international relayée par une commission féminine qui fait à peu près n’importe quoi, et s’excite sur tout sauf les problèmes concrets des femmes des couches populaires, et des travailleuses en particulier dans le service public. Ainsi dans le cas Assange, il a fallu la bataille déterminée de notre camarade Fabienne Lefebvre pour que le PCF soit invité à dénoncer ce qui se passe avec Assange. La commission féminine n’a cesse de monter au créneau pour empêcher que l’on soutienne Assange en reprenant les accusation contre ce dernier accusé d’avoir fait l’amour sans protection, une opération venue de Suède et qui est apparue comme une manipulation indigne.

Il faudrait tout reprendre le refus de soutenir le Venezuela, le choix d’appuyer le maidan et quasiment toutes les interventions y compris à travers un bruyant soutien au Kurdes dans une coalition criminelle contre la Syrie… Que l’on éprouve tout à coup de la sympathie pour ce malheureux peuple qui n’a cessé d’être victime de la Turquie et d’autres puissances peut être compris mais que ce soit au moment où on leur fait jouer le rôle de supplétif derrière les USA dit ce qui est défendu.

Ce positionnement obstiné toujours en faveur des bonnes œuvres de la CIA et de l’OTAN sous couvert de “démocratie” peut-il être le fruit du hasard sur une vingtaine d’années ?

Pourquoi y compris les campagnes en faveur de la paix, et de Cuba ne sont -elles jamais organisées. Les déclarations du secrétaire du PCF restent-elles lettre morte ?

Pourquoi s’acharnent-ils à ce que ne soient jamais posées des questions comme la sortie de l’UE et de l’OTAN ?
Y a-t-il des subsides de ce côté là ?
Pourquoi interdisent-ils que soit posée la question du socialisme ?
Pourquoi interdisent-ils de répondre aux campagnes contre la Chine ?
Pourquoi les avancées indéniables dans les discours de Fabien Roussel sont-elles ainsi contraintes à un commun dénominateur “progressiste” sans intervention réelle, de peur d’une scission dont ils menacent de plus en plus ouvertement ?

Pourquoi les militants communistes ne sont-ils jamais informés et les laisse-t-on simplement s’imbiber de la propagande anticommuniste sur un en jeu aussi fondamental que la réalité du socialisme chinois ?
Pourquoi peuvent-ils imposer une telle ligne, le feront-ils au Congrès ?

Pourquoi cette censure totale sur tous ceux qui comme moi interrogent la stratégie, l’histoire et l’avenir ?
Ils s’appuient il est vrai sur les divisions, les concurrences, les haines imbéciles qu’engendrent les contrerévolutions et la faiblesse des organisations révolutionnaires, s’unifier, ouvrir le dialogue a été le premier pas du manifeste, il faut poursuivre et le faire derrière Fabien Roussel, le secrétaire du PCF qui par sa pratique, ses choix fait la preuve que nous sommes en train de sortir de la liquidation.

Il faut amplifier cette volonté d’unité des communistes parce que l’abstention des couches populaires, la politique de plus en plus offensives contre celles-ci, contre les travailleurs, la jeunesse , prouve qu’il faut l’unité par pour les places mais pour imposer une autre orientation à notre pays. Il n’y a pas d’issue dans des stratégie de division, groupusculaires, il faut reconquérir ce parti communiste dont nous avons tous besoin et pour cela “que les bouches s’ouvrent pas de mannequin dans le Parti !” que chacun reprenne sa place et tire dans le même sens.

Et pour cela ne serait-il pas temps que les militants mesurent le travail de sape interne tel qu’il est réellement mené et s’y opposent. Pourquoi les pratiques ouvertement fractionnelles et liquidatrices dans le Val de Marne et les Bouches du Rhône ne sont-elles jamais sanctionnées, comment se fait-il qu’ils soient encore en état de diriger la presse communiste ce qu’elle peut écrire et ce qu’elle doit taire ?

Agir ainsi depuis plus de vingt ans et d’une manière qui constamment va dans le sens de ce que recherchent les USA, l’UE, l’OTAN peut-il être le simple fuit du hasard, d’une méconnaissance des questions internationales et des enjeux ? Cela défie tous les calculs des probabilité… il y a des individus dont la conscience est telle qu’ils bravent la mort, la fin dans un cachot comme Assange, Manning, ils peuvent finir dans un stade comme Jara ou dans une chambre d’hôtel comme Vjtchek hier, il est des peuples indomptables comme Cuba, mais il est des gens que l’on convainc de trahir plus aisément et qui rejoignent facilement le chœur de pseudo démocrates et vrais impérialistes…

Mais l’histoire ne les acquittera pas.

Ici dans ce blog, nous posons les questions à notre manière, directe, sans avoir à ménager rien, ni personne… mais nous savons que de partout monte la prise de conscience et que ceux qui voudront maintenir la chape de l’ignorance sur ceux que la colère soulève ne peuvent le faire que par des leurres, des dévoiements qu’il faudra bien dénoncer.


Dialogue avec Jean Pierre Page

Le PCF est-il soluble dans l’impérialisme ?

Chère Danielle,

J’ai lu avec beaucoup d’intérêt ton récent article “j’accuse”. Je partage le constat critique que tu fais sur le caractère non-accidentel des positions du PCF, particulièrement sur de nombreux sujets internationaux. Je pense que ton opinion est utile et qu’elle contribue à clarifier ce qui n’est pas seulement une dérive résultat d’insuffisances mais une réorientation stratégique engagée depuis de nombreuses années. Le changement de société dont nous parle le PCF et comme on le voit sur l’Europe n’est rien d’autre qu’une adaptation illusoire qui ne remet pas en cause la domination du Capital. Cette politique a conduit entre autre à l’abandon purement et simplement de la dimension internationaliste du combat de classe des communistes en France.[...]

Aujourd’hui par son opportunisme et son refus de la moindre autocritique le PCF est devenue une force politique marginale au niveau national et par ailleurs incapable internationalement de jouer un rôle positif en faveur d’une prise de conscience permettant de se hisser à la hauteur des défis de notre temps face à la barbarie capitaliste et aux obsessions dominatrices de l’impérialisme. Cette évolution est d’autant plus paradoxale que comme le montrent les crise actuelles, si les risques existent, les opportunités ne manquent pas. [...]

Ton article contribue à faire un état des lieux correct. Je ne juge pas ici de ce qu’ensuite tu préconises. Ce qui est important c’est de dépasser les exclusives, les jugements de valeurs, les aprioris, les ostracismes pour donner l’élan nécessaire au combat communiste. Cela ne se fera pas sans les uns ni sans les autres. En amitié. [...]

Cher jean Pierre,

Je te remercie de ce texte très argumenté, il a toute sa place dans la discussion de notre blog. Je partage bien des points de ton pessimisme et je vis dans ma chair ce que tu décris à savoir un certain statu quo institué par le 38e congrès.[...]

Donc ce que tu décris cette hémorragie de camarades n’est pas imputable à la seule direction du PCF, et encore moins à celle issue du 38ème congrès, direction bicéphale, lestée de tout le poids de l’ancien.[...]

Je me souviens du 25e Congrès, alors que nous étions toi et moi membre du comité central, de la question posée alors par Georges Marchais : “il va y avoir une tempête, est-ce que nous devons céder ou résister ?” Certes personne ne supposait l’ampleur de la tempête mais on sentait bien que l’assaut contre-révolutionnaire était là. Le PCF avait choisi à l’inverse de Berlinguer et Santiago Carillo de tenir bon quel qu’en soit le coût. En revanche, avec la nomination en catastrophe de Robert Hue, il a été choisi de “s’adapter” à la pire des dérives. Les autres se sont auto-nommés à la suite de cette dérive initiale. [...]

Le plus extraordinaire est la quasi interdiction de parler du socialisme. Nous alternons entre les combinaisons de sommet, les pratiques de couloir et les discours creux sur l’actualité du communisme. Comme d’habitude, le sordide de la reddition sans combat a souvent besoin de feindre de planer dans un rêve idéal en évitant les buts et les moyens. Ce qui va avec le fait que nous avons perdu notre mémoire et nous n’arrivons plus à voir les transformations du monde, celles qui posent la question des “socialismes”, des transitions différentes.[...]

“nos raisons d’exister valent mieux que notre existence”

disait Robespierre, nos raisons d’exister nous qui sommes prêts de la fin, demeurent celles qui nous ont fait adhérer : en finir avec l’exploitation, la guerre, l’intolérable injustice d’un monde crépusculaire… Mon intime conviction est qu’il faut persévérer dans ce que je fais, aider les communistes à avancer et soutenir ceux qui se battent pour aller dans le sens du combat d’une vie et espérer être encore utile. Si je ne me trompe pas cela peut servir.[...]

Chère Danielle,

Merci pour ta réponse que j’ai lue avec une certaine émotion. Je la partage pour l’essentiel. Pour ma part j’ai fait le choix d’aider autant que je le peux et modestement les communistes dispersés. La situation n’est pas exactement identique, mais je pense souvent à nos anciens camarades qui dans les premières heures de la résistance ont réussi non seulement à réorganiser le parti mais aussi la lutte armée tout en entretenant la flamme des idées, certes, non sans de grands sacrifices. Cela devrait nous inspirer, c’est insuffisamment le cas.[...]

Je suis d’accord avec toi, la dérive remonte loin, et l’eurocommunisme a été l’accélérateur d’un processus destructeur des repères de classes et a porté un coup à nos références pourtant construites sur une longue période s’appuyant sur la relation complice et inédite entre la force sociale et politique du monde du travail et celle des intellectuels. Que reste-t-il de tout ça dans la forme parti que nous avons connu. Que reste-t-il de cette fierté qui était la nôtre d’appartenir à ce parti tout comme d’ailleurs à la CGT ? Nous avons aussi nos propres responsabilités dans cette évolution destructrice et je veux pas les oublier ou les ignorer, ce serait trop facile. J’assume la part individuelle qui est la mienne et celle collective qui fût la nôtre.[...]

La crise épidémique est au fond un formidable révélateur des tares du système capitaliste, il met à nu la faillite qui est la sienne. Je pense que c’est un constat qu’internationalement beaucoup de peuples font. Il y a des attentes et la barbarie n’a pas réussi à tuer l’espoir, en particulier dans la jeunesse. Il y aura encore bien des erreurs commises mais comme tu le sais si bien « l’aube n’est jamais si proche qu’au plus noir de la nuit ». [...]

Le dialogue complet ICI.


Commentaire de l’ANC :

Comme Jean-Pierre nous ne nous prononcerons pas sur l’avenir du débat dans le PCF et son évolution. Si la séquence électorale qui n’en finit pas ne nous semble pas inverser la tendance à l’électoralisme mais au contraire la renforcer, cela regarde les membres de ce parti.

Restent nous semble-t-il deux questions au terme de ces écrits :

Parce que nous croyons à l’intelligence collective pour résister à l’offensive idéologique permanente du capital, nous pensons que nous ne pouvons pas rester communistes seuls.

Cette question de la nécessité que la réflexion de chacune et chacun soit enrichie par le débat permanent au sein d’un groupe nous semble absente des considérations de nos deux camarades.

Comment être utile à la reconstruction si on est isolé ou plus exactement non engagé ?
Comment se nourrir de la réflexion du collectif et apporter sa pierre en confrontant celle-ci à la réalité matérielle de l’engagement politique ?

L’ANC ne prétend pas avoir la vérité, ni être la seule dans son courant d’idées, ni ne veut rester un petit groupe, mais elle est un collectif d’hommes et de femmes qui veulent en permanence ouvrir une perspective politique aux luttes existantes ou tardant à s’exprimer, donnant ainsi à lire un point de vue communiste d’un mouvement qui ne demande qu’à grandir et à faire progresser la nécessité d’une organisation révolutionnaire pour être de plus en plus utile au combat de classe.

La convergence avec d’autres groupes ou individus se réclamant du communisme et la progression de nos effectifs depuis notre création nous y encouragent même si nous savons que cela est encore modeste.


Voir en ligne : https://histoireetsociete.com/2020/...

   

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