Le “plan de victoire” de Zelensky, dérivatif délirant aux besoins de diplomatie et de paix

Zelensky, sans mandat électoral depuis déjà plusieurs mois, n’est même pas un dirigeant légalement élu. Il est à la tête d’une junte accro au racket de guerre qui soutire des centaines de milliards de dollars aux contribuables occidentaux.

Le mois dernier, il a informé le président américain Joe Biden d’un “plan de victoire”. Zelensky a également fait pression sur les candidats à la présidence Kamala Harris et Donald Trump.

le plan a été gardé secret - bien que Trump n’ait pas semblé impressionné à l’époque.

Cette semaine, l’ancien comique affublé des couleurs militaires a rencontré les dirigeants de l’Union européenne pour leur vanter comment le régime de Kiev, soutenu par l’OTAN, allait vaincre la Russie. Le voir installé à une grande tablée de politiciens européens vire à la farce. Et ce, alors que les troupes russes pilonnent les vestiges de l’armée de Kiev et les mercenaires de l’OTAN dans la région orientale de l’ex-Ukraine.

Le pantin de Kiev n’a rien de neuf à offrir. Tout se résume à mendier plus d’armes et d’argent, à rêver désespérément de missiles à longue portée pour frapper le territoire russe, d’une adhésion à l’alliance de l’OTAN et, ultime chimère, d’un don d’ogives nucléaires au régime néo-nazi.

Viktor Orban, Premier ministre hongrois, a qualifié la dernière prestation de Zelensky de risible et de manœuvre désespérée et angoissante en vue de déclencher la Troisième Guerre mondiale.

La partie est terminée pour l’escroc ukrainien et son régime corrompu. L’Ukraine a été détruite, et plus de 600 000 soldats ukrainiens sont morts sans raison valable - pour une guerre par procuration réclamée par l’axe de l’OTAN dirigé par les États-Unis dans l’espoir fou de battre la Russie d’une manière ou d’une autre.
Zelensky et sa clique ont joué le jeu, gagnant des fortunes grâce au racket sur la guerre.

Même les médias occidentaux admettent que la guerre par procuration se solde par une défaite désastreuse pour le camp des alliés de l’OTAN.

Ce conflit n’aurait jamais dû avoir lieu. Fin 2021, la Russie a présenté toute une série de propositions pour résoudre ses problèmes de sécurité liés à l’expansion de l’OTAN et à la promotion incessante d’un front néonazi en Ukraine, aux portes mêmes de la Russie. Cette tentative raisonnée de diplomatie moscovite a été foulée aux pieds par l’arrogance des États-Unis et de l’OTAN, qui ont cru pouvoir infliger une défaite militaire stratégique à la Russie.

Les Occidentaux ont opté pour la guerre, contre la diplomatie. Leur inconscience criminelle a coûté la vie aux militaires ukrainiens et brisé l’ancienne république soviétique. Les territoires conquis par la Russie sont historiquement russes et ne seront pas restitués.

Le régime de Kiev a perdu tout droit à négocier. Sa russophobie et son agressivité sans bornes imposent l’éradication pure et simple du régime. C’est par la force que la Russie va démanteler le régime et ses prétentions à l’OTAN.

Les États-Unis et leurs affidés de l’OTAN vont devoir admettre que leurs manipulations criminelles en Ukraine sont tombées à l’eau. La guerre doit prendre fin en accédant aux revendications légitimes de la Russie en matière de sécurité, et ce à ses conditions. La diplomatie aurait pu faciliter les choses.
Mais l’Occident a opté pour la manière forte.

Le régime de Kiev n’est qu’un vestige honteux dont il faut se défaire, comme le furent ses prédécesseurs nazis. Parler de “plan de victoire” n’est rien de plus qu’une farce cruelle prolongeant l’agonie du peuple ukrainien.

Les dirigeants américains et européens devront avoir conscience que leurs fantasmes bellicistes sont révolus. Tôt ou tard, la diplomatie et le dialogue seront de rigueur. Cela implique de traiter la Russie avec le respect qui lui est dû.

Or, les élites politiques occidentales sont à ce point pétries d’arrogance et d’animosité idéologique à l’égard des Russes qu’on les imagine mal reprendre leur sang-froid pour entreprendre d’authentiques négociations de paix.

En attendant, la Russie est parfaitement en droit de mater l’ennemi et de veiller à ce que jamais l’OTAN ne soit une menace pour la nation russe.

Lorsque l’Union soviétique a vaincu l’Allemagne nazie en 1945, elle a remporté une formidable victoire et porté un coup fatal à l’agression fasciste. Cependant, comme l’a tragiquement démontré l’histoire, la cause de la paix dans le monde n’a pu être garantie, car l’impérialisme occidental est loin d’avoir disparu.

Le monstre, toujours vivace, n’a cessé de revenir à la charge. Pour que le monde puisse un jour connaître une paix durable, il faudra mettre un terme au cauchemar des idéologies.