Rappel au bon sens : au fou Macron !

Mais cela n’a qu’un temps, un jour le Roi est nu, il n’y a plus guère que lui et quelques rares flagorneurs pour croire encore avoir marqué l’histoire. Il continue alors à s’agiter dans tous les sens, en se contredisant souvent, pour montrer aux foules ébahies la profondeur de ses idées.

Cela pourrait n’être que ridicule, et prêter à sourire, quand il enchaîne des banalités sur des sujets dont il ignore tout, l’Intelligence artificielle ou le climat, ou quand il multiplie les selfies complaisants au Salon de l’agriculture.

Cela devient plus discutable et dangereux quand il s’obstine à esquisser un avenir du monde, à prétendre y entraîner la Nation, se posant encore en démiurge, à l’issue de décennies de désastres économiques et diplomatiques
.
Car la France du Macron de 2025 s’est vidée de ses grands pôles industriels, au point de devoir importer le moindre pantalon, et s’est piteusement fait expulser d’une Afrique où elle jouait un rôle primordial. Elle n’a plus, de ce fait, de crédit au sein d’une petite Union Européenne, qu’elle a eu longtemps la prétention de diriger avec son compère d’Allemagne, et qui est devenue sous leur égide le larbin économique et militaire des oligarques de Washington.

Une dégringolade visible de tous, de Melbourne à Tokyo, de Beijing à Delhi, qui n’empêche pas la grenouille Macron de se vouloir à tout instant plus grosse que le bœuf de la fable, le héraut de pensées profondes à l’international, dessinant quotidiennement sur les petits écrans sa trace dans l’histoire du Monde.
Sans craindre par ailleurs de se contredire souvent.

Ainsi, depuis les débuts du sinistre conflit ukrainien, de la guerre déclarée à la Russie par les cerveaux impérialistes US et leurs hommes de main à Kiiv, Macron s’est illustré d’abord en prônant le dialogue avec Vladimir Poutine, quand les ténors de l’OTAN prêchaient pour les livraisons d’armes. Puis il inversa son discours, allant jusqu’à suggérer l’envoi de soldats français sur le front ukrainien, quand et parce que le Chancelier berlinois, sachant les réticences de son peuple, avait déclaré n’en pas vouloir. De toute façon, à Paris ou Berlin, les actes comptent plus que les paroles, et ces faits depuis le début sont de soumission aux objectifs Étatsuniens, dans une haine partagée de la Russie, qui se donne libre cours sur les chaînes de l’État français, et sur celle » Européenne » Arte.

Mais l’accession à la Maison Blanche de Trump, dirigeant démagogue et erratique d’un Impérialisme États-unien new-look, a changé la donne diplomatique, en affichant ouvertement son mépris pour ses subalternes Européens, et ses valets sanglants de Kiev. Notre ineffable Président Macron s’est donc évertué à riposter à cette insulte, ce qu’on ne saurait lui reprocher, même si elles ne sont guère crédibles à l’issue d’un septennat entier de soumission.

Et surtout parce que la formulation en est fort discutable.

Alors que les négociations s’engagent enfin entre les deux maîtres du jeu, qui peuvent laisser espérer enfin une issue négociée, Macron accuse Trump de ne plus vouloir assez la guerre !
Et propose aux français d’en reprendre le flambeau, en corsetant notre nation dans une « économie de guerre » !
Au fou !

Il est donc temps pour nous de réaffirmer le bon sens :

PAS UNE ARME, PAS UN SOLDAT, PAS UN SOU, POUR LA GUERRE CONTRE LA RUSSIE !

PAIX EN UKRAINE, PAR LA NÉGOCIATION, ET LE RESPECT DES VOLONTÉS DES PEUPLES,

AU DONBASS, EN CRIMÉE ET AILLEURS !